‘’ Je m’appelle MWIGEME Diane, j’aime lire, cuisiner, chanter, bricoler et rire. Je rêvais d’être une célèbre cuisinière, mais j’ai pas trouvé cette section dans mon école, et j’ai fait les langues. J’ai dû abandonner l’école pour un homme de 33 ans, qui a promit une maison à mon père et qu’il m’aidera aussi, à réaliser mon rêve. Je l’ai cru, dans un temps, il a fait bon geste, mais après quelques mois, je n’ose plus montrer un sourire.Je souffre, sur ce lit d’hôpital, je suis enceinte de 7 mois déjà, alors que je n’ai que 17 ans.’’
Des mots, il y en a pas, qui peuvent décrire la tristesse d’une fille mineure, embrassa le mariage. C’est tragique , de voir nombreuse de ces histoires. Le mariage forcé, ça devrait cesser. Agir contre cela, et faire augmenter le taux d’alphabétisation dans notre pays.
Il y a déjà les actions à mener, pour éviter cela, et on devrait les renforcer. Je crois que si Diane, avait eu le faculté, qui traçait le chemin vers son rêve, elle n’aurait pas accepté, ne cesse qu’une seule proposition.
Que faire ?
Plusieurs cas, de mariage forcé sont dans les villages, un villageois voudra voir le fruit de l’éducation de sa fille ; pour lui convaincre qu’y reste serait mieux. S’il voit sa fille rentrer, et produire du courant électrique, cuisiner comme un chef, réparer sa radio ; jamais, il n’accepterait d’interrompre ses études. Au contraire, il se vantera partout, qu’il a une génie.Tant qu’il y a le fruit de ce qu’elles apprennent à l’école, il y aura cette fierté.
Le gouvernement devrait voir, comment permettre aux enfants d’aimer l’école et les faire aimer à leurs parents. Rappeler aux parents que la meilleure protection d’un enfant est eux, qu’une fille sans éducation est orpheline. Et s’approcher plus, du mental des filles ; car des fois, elles décident de s’engager et tombent enceinte des fois, parce qu’elles ont été psychologiquement violées. Par leur conception, une femme excelle dans l’art d’être du même avis que celui qui lui parle, quitte à reprendre en détail ce qu’elle avait concédée en gros.
On devrait aussi sensibiliser les personnes, à penser à de nouveaux projets, permettant le développement du pays, et faire engager ces parents, pour stabiliser leur situation financière. Si on aide les parents, on aide aussi l’enfant. Car l’une de principale causes, de ces abus, c’est la pauvreté.
Dans le domaine d’éducation, l’État devrait songer à faire en sorte que les enfants pratiquent ce qu’ils apprennent, et pour montrer, ce que l’éducation offre de plus; sans aussi oublier, qu’une bonne éducation est le meilleur apport dans le mariage.L’éducation devrait permettre à l’enfant de trouver du plaisir dans ce qu’il apprend. Mettre en avant les travaux pratiques des cours.
Dans le domaine de la vie sociale, vérifier qu’à la naissance, tout enfant est enregistré, il devrait s’assurer que l’âge minimum de mariage est respecté, plus punir toutes personnes violant cette règle, inviter toutes les personnes à prévenir les autorités, en cas de ces situations et les récompenser, si elles ont défendu l’honneur de la fille.
Dans le domaine économique, il devrait savoir que ces jeunes filles privées d’accomplir leurs rêves, renferment aussi un trésor qui aiderait ,dans le développement du pays.
Donc agir pour les droits de ces jeunes filles, c’est aussi agir pour notre nation. Une fille sans avenir vaut une perte pour le pays. L’argent investi dans la protection des filles vulnérables, ne se perd pas. Quand les filles sont éduquées, leurs pays deviennent plus forts et plus prospérés.
On devrait surtout se rappeler que: Quand on éduque une femme on forme la société, quand on éduque un homme on forme seulement un individu.
Adhem Opela